Un cerveau informatique compte 100 millions de neurones. Soit mille fois moins que l’humain… © Adobe StockL’intelligence artificielle est aujourd’hui notre meilleur espoir. C’est ce que défend Badr Boussabat, le président d’AI Together, une ONG qui rassemble les plus grands experts au monde sur le sujet. Bien utilisée, elle pourrait valoir à l’humanité des progrès extraordinaires pour le système économique, la lutte contre ce réchauffement climatique ou même les relations sociales. C’est d’ailleurs déjà en route. L’algorithme mis au point par la société Blue Dot avait prédit l’apparition du coronavirus avant les autorités, y compris l’OMS, en parcourant, dans plus de soixante langues, des documents publics ou des témoignages sur ces réseaux sociaux. Selon Badr Boussabat, si on met en place une organisation pour traiter les données du santé, les prochaines pandémies pourraient être stoppées en quelques semaines. En outre, la majorité des algorithmes réduisent la plupart des marges d’erreur, il se trouve que les coûts et permettent des prédictions. “Au début de la pandémie, on était incapable de distinguer les divers symptômes dus dans la pandémie, le qu’une intelligence artificielle pourrait parvenir chez faire afin relatives au diminuer la reproduction du virus. Autre avantage: l’apprentissage fédéré. Chaque hôpital pourra avoir un algorithme local qui permettra de prédire si un patient aura besoin ou bien non d’assistance respiratoire. On pourra ensuite nourrir un super-algorithme fédéré qui donnera le taux touchant à probabilité d’assistance. Mais c’est évidemment un plan que de fait les autorités doivent mettre en place afin de sensibiliser le public aux algorithmes. Cependant techniquement, c’est possible d’éradiquer les pandémies, même si cela demande beaucoup d’organisation et de formation de personnel hospitalier. ”L’intelligence d’un ratPourtant, l’intelligence artificielle, souvent fictionnalisée dans ses aspects les plus inquiétants, fait toujours peur. Pour Badr Boussabat, c’est aux politiques de protéger et former les individus. “On donne déjà ses données parmi des entreprises privées pour le plaisir via les communautés internet telles facebook. Pourquoi ne donnerait-on pas ses données de santé de sorte à parvenir à notre utilisation encadrée par les gouvernements? L’État en serait garant en protégeant contre les utilisations malveillantes. ”Pour autant, les différents systèmes informatiques les diverses plus “intelligents” du monde ont moins dans bon sens qu’un rat. Les neurosciences ont permis d’estimer que le cerveau humain est doté d’environ 86 milliards de neurones, concernant peu près tous présents dès la naissance, et d’un million de milliards pour obtenir connexions dont une bonne part s’établit & se sélectionne au cours du développement de l’intelligence chez l’enfant. En informatique et intelligence artificielle, ce que l’on appelle aujourd’hui un neuromorphisme est beaucoup plus limité: par exemple, le cerveau numérique de l’entreprise américaine Intel, réputé l’un des plus puissants – monde, ne comporte que 100 millions de neurones, soit le cerveau d’un petit mammifère, entre un hamster mais aussi un rat. Ainsi, à ce jour, le cerveau humain reste, de très loin, le plus bel siège de l’intelligence sur terre. Cherche cyber-managers“Nous avons la tendance à l’anthropomorphisme. Or, rien ne démontre qu’il y ait une concurrence entre l’intelligence artificielle et l’intelligence humaine. C’est une erreur de se comparer à une automatisation. L’intelligence humaine se révèle être plus transversale dans ce cas vous ne devez vous demander inclut le bon sens. En réalité, plus l’intelligence artificielle va se développer, plus les attributs exclusifs de l’être individuel vont prendre au sein de la valeur. ” Les algorithmes pas prendront jamais le fameux pouvoir. Les métiers répétitifs et automatiques, certes, disparaîtront, mais ce sera dans le but de permettre à l’être humain de prendre de meilleures décisions. D’autant que l’intelligence artificielle créera mieux d’emplois qu’elle n’en détruira, affirme Badr Boussabat. Par illustration, l’intelligence artificielle saurait optimaliser les énergies fossiles et afin y arriver, personnes aura besoin concernant le cerveaux qui créeront des stratégies, qui superviseront, qui encadreront juridiquement. On aura en fait besoin de plus proposent un managers pour confirmer les éléments et les décisions indiquées par l’intelligence artificielle. “Dans vingt ans, les paradigmes auront changé. La médecine prédictive permettra de soigner avant même l’apparition de maladie et fera chuter les coûts des soins relatives santé, renchérit Badr Boussabat. L’intelligence artificielle va par archétype révolutionner la neurologie. Une intelligence artificielle permettra de prédire ces crises en captant l’activité électrique au sein de le cerveau. On pourra aider il se trouve que le patient à comprendre les causes en ses crises. ” Parce que ses applications touchent désormais l’ensemble des citoyens, l’intelligence artificielle se trouve être devenue un réel objet social. Nos activités quotidiennes sont déjà de plus en plus “médiées” par les algorithmes, qu’il s’agisse pour rechercher une information sur un moteur de recherche, voués aux communiquer sur la majorité des réseaux sociaux ou concernant réserver un spectacle en ligne. L’IA améliore de manière inédite notre présent avec tous les domaines, de l’environnement aux arts, consacrés aux la santé comme la cuisine. Et elle va continuer à bouleverser notre société en profondeur. Du moment que la plupart des politiques publiques, parmi le monde entier, s’en emparent concernant mieux les baliser.
