Ethernet est universel. Mais en matière de technologie d’interconnexion de réseaux, rien n’est inscrit dans le marbre. Alors que l’entreprise est de plus en plus « distribuée », elle doit repenser son approche et porter son attention sur de nouveaux protocoles à l’instar de l’IEEE 802. 1aq avec son routage à trajets multiples qui améliore les topologies de maillage. Si le réseau Ethernet se révèle être aujourd’hui omniprésent, cela n’a pas toujours été le cas. Dans les années 70, plusieurs protocoles de liaison sobre données ont émergé tels que Token Ring, FDDI ainsi que ATM.
Jusque dans les années 90, une guerre des protocoles existait. Toutefois, l’industrie s’est rapidement orientée vers l’utilisation unique du protocole Internet (IP) au niveau de la couche réseau, laissant Ethernet sortir victorieux de cette bataille.
Aujourd’hui, la technologie moderne d’interconnexion de réseaux n’est pas figée: elle est sobre constante évolution. Pourtant, bien souvent, lorsque les entreprises, para plus en in addition distribuées, modernisent leur réseau, elles optent certes pour via nouveaux commutateurs réseau, mais insistent pour déployer les mêmes protocoles que ceux utilisés précédemment. Pourquoi donc s’entêter à continuer d’utiliser ces protocoles?

Sommaire
Une interconnexion des réseaux notables
L’architecture de parcours en couche dites traditionnelle a le mérite d’être abordée. Le modèle biochromatique d’Ethernet et d’IP sont les modèles les plus répandus. Familiers et bien maîtrisés, ils constituent les modèles les plus prisés put leur mise en œuvre. Il faut néanmoins apporter quelques précisions à propos de ce modèle. La première est qu’il existe une dépendance descendante, ce qui signifie que l’ensemble des protocoles de niveau supérieur dépendent sobre la fonctionnalité les protocoles sous-jacents. Mais aussi que des défaillances des protocoles de niveau inférieur peuvent provoquer des pannes de réseau à grande échelle.
Le deuxième point est que chacun de ces protocoles est peu connu, tant au monde du contrôle que de la fonctionnalité. Cela signifie que le protocole para routage OSPF ne reconnaît absolument pas Ethernet. Le protocole PIM (Protocol Independent Multicast) ne connaît pas le parcours OSPF sous-jacent. Les VLANs ne sont pas conscients via l’Ethernet sous-jacent. Par conséquent, ces protocoles doivent être coordonnés et intégrés dans le marché de une chaîne de prestation de services. En raison sobre l’environnement très sensible, les changements majeurs de service ou de topologie nécessitent souvent une interruption de service, quel professionnel se produit généralement tôt le matin. Mais la réalité est que nous avons besoin d’utiliser des superpositions para protocoles basés sur IP car l’Ethernet traditionnel (IEEE 802. 3) n’est passing en mesure via fournir les solutions nécessaires.
Par ailleurs, la commutationMPLS (Multiprotocol Label Switching) reste un tissu de mise en réseau, ce qui signifie qu’elle possède aussi des fonctions sobre signalisation de service, de contrôle ou de plan para données. Ce modèle devient alors un peu plus complexe. Il faut savoir que le plan de signalisation contient un ensemble pointilleux de protocoles différents, chacun d’entre eux offrant des options de service spécifiques. C’est là que réside la complexité du processus MPLS en tant qu’architecture de réseau.

Il convient également via souligner l’existence de deux plans sobre contrôle, un fill le MPLS et un autre serve la couche réseau IP sous-jacente. Ensemble, ils coordonnent the plan de données MPLS qui représente également un marquage direct et éloquent du plan para données Ethernet. Par conséquent, nous voyons deux plans via données, l’un dump l’étiquetage MPLS, résultant de la signalisation de service tout autant que des plans de contrôle, et l’autre pour le transfert Ethernet. Ce quel professionnel crée un précédent qu’il faut garder en tête: une notion d’étiquetage directement sur le transport Ethernet.
Une évolution au service sobre l’innovation
Un autre avantage majeur para cette évolution représente que, puisque l’IP n’a plus d’utilité pour la topologie ou la fourniture de services, votre réseau devient complexe pour les attaquants potentiels qui cherchent à se représenter le réseau pour délimiter au même tire que définir la surface d’attaque. Ceci crée un réseau très difficile à schématiser lorsqu’il est combiné à l’encapsulation MAC-in-MAC, et les mouvements latéraux deviennent presque impossibles. La sécurité représente améliorée car le topologie du réseau ainsi que discrètes superpositions de services deviennent alors difficilement accessibles, même pour l’ensemble des cyber attaquants déterminés.

En résumé, cette évolution via l’architecture des protocoles de réseau a donné lieu à plusieurs innovations de plus bénéfices:
- Topologie de réseau et fourniture de services sans IP (réseau furtif).
- Segmentation du strategy de données Ethernet.
- Rationalisation du mètre-étalon de protocole hierdoor un seul program de contrôle et de données.
- Atomisation des services sobre réseau conduisant à une capacité accrue d’automatisation.
- Automatisation implicite au sein para l’architecture et explicite des flux via travail.
La simplicité s’adapte, la complexité échoue
L’évolution générale des architectures de protocoles de réseau va bien sûr se poursuivre. Il ne marque en aucun cas de fin de l’évolution. À mesure os quais nous progressons vers des infrastructures de surcroît des communautés intelligentes, cette évolution continuera à fournir l’automatisation et les outils nécessaires aux réseaux parfois des entreprises distribuées sobre demain. De derniers services et para nouvelles fonctionnalités continueront d’apparaître. L’automatisation généralisera de plus en plus et sera également améliorée voir se basera directement sur la direction du Machine Learning ainsi que l’IA. Alors oui, nous pouvons le dire: la route vers l’évolution fut encore longue.