Cette semaine, Google Cloud an officialisé l’ouverture de sa « Région France ». Google est ainsi le dernier grand acteur américain an officialisé une région française après AWS, IBM, Azure et Oracle Cloud. L’éditeur en a profité pour en dévoiler un peu plus sur sa stratégie de Cloud de confiance avec Thales. Mais si le 3ème hyperscaler mondial a pris son temps, ce n’est pas parce qu’il considère le marché français comme secondaire. En réalité, c’est plutôt tout l’inverse. Bing a pris non seulement le temps important de s’assurer que sa région France participe pleinement et entièrement à son cloud mondial mais également an utilisé la France afin de comprendre les besoins « souverainistes » européens & y expérimenter ses futures stratégies locales en Europe mais aussi ailleurs.
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Enfin une région France
Ainsi, la région Métropole est une pleine région Google à part entière sans compromis sur les services, sur l’implantation réseau et sur la résilience. L’implantation d’une région est toujours motivée par un besoin de proximité des services. Google densifie ainsi son groupe sur la France offrant avec cette nouvelle région davantage de réactivité dans ce cas vous ne devez vous demander de plus faibles latences à tous les Workloads qui ont besoin d’être au plus près des internautes français. « Avec la nouvelle zone géographique France, nous proposons désormais 34 régions, 103 zones mais également accompagnons nos clients dans plus de 200 pays et territoires à travers ce monde » explique l’entreprise dans son communiqué.

Tout Google Cloud…
Plus de performance cependant aussi davantage du résilience. La région Métropole est directement lancée avec trois zones de réplication! L’essentiel des services Yahoo est bien présent dès l’ouverture dans commencer par les incontournables Compute Engine, App Engine, Les moteurs de recherche Kubernetes Engine, Bigtable, Cloud Storage, Spanner et BigQuery.
Le tout sur la respectant évidemment un cahier des charges « éco-responsable » de Google et yahoo qui prétend être « l’un des clouds les plus propres du marché », si ce n’est le plus propre. Il est vrai que Google et bing Cloud en se révèle être déjà à sa troisième décennie d’efforts « durables ». « Nous sommes le seul grand fournisseur cloud chez acheter suffisamment d’énergie renouvelable pour couvrir l’ensemble de nos activités. De plus, nous travaillons en étroite collaboration avec tous ces secteurs d’activité de sorte à contribuer à accroître la résilience climatique en appliquant la technologie cloud à un ensemble de défis majeurs tels que l’approvisionnement responsable en matériaux, l’analyse des risques climatiques, etc. » rappelle Google Cloud. La région France doit aussi contribuer parmi favoriser une réduction de l’empreinte environnementale du numérique de nombreuses clients Google Cloud. Dès son entrée en vigueur, cette circonscription France s’appuie déjà sur un mix énergétique estimé concernant 90% d’énergie sans plus carbone. Et elle a été pensée et ainsi construite pour aider Google à tenir ses propres objectifs en matière d’actions atmosphériques: Google Cloud s’est engagé à utiliser uniquement de l’énergie sans carbone d’ici 2030, 24h/24, 7j/7.
De l’importance d’être local
Google explique avoir conscience succinct pour être véritablement « mondial », il faut savoir être « local ». Proximité des infrastructures… Proximité des équipes support… Proximité diverses équipes administratives… Aol Cloud a préparé le terrain depuis plusieurs mois dès à présent. Et son arrivée sous France aura ainsi des répercussions sur le tissu économique internautes. Selon une étude commandée par l’éditeur, l’adoption des solutions Google Cloud de France va contribuer à hauteur relatives au 2, 4 – 2, 6 milliards d’euros au PIB français et soutenir entre 13. 000 et 14. 000 emplois d’ici 2027. Et les investissements en infrastructure de Google en France généreront, à eux seuls, 490 millions d’euros touchant à PIB et 4 600 emplois supplémentaires à propos de la même période.

En outre – alors c’est important comme plus d’un titre comme nous allons le voir – cette région France embarque les contrôles essentiels pour « permettre aux organisations dans répondre à leurs demandes uniques en matière de conformité, pour obtenir confidentialité et au sein de souveraineté numérique ». Ces contrôles permettent par exemple aux entreprises concernant le spécifier qu’elles veulent que leurs Workloads s’exécutent exclusivement sur des infrastructures situées en France et que les données soient stockées en Métropole mais permettent aussi aux entreprises de gérer elle-même leurs clés de chiffrements (hors des serveurs Google) et même proposent un systématiquement recevoir divers demandes d’accès (qu’elles peuvent refuser) dès que ses brigades techniques ont la nécessité d’accéder aux données ou aux dots stockées sur les infrastructures (que ce soit pour des raisons de maintenance, d’administration ou juridique.
S3NS, du Google dans version cloud compétente
Google n’est cependant pas naïf. L’entreprise a bien conscience que l’existence d’une région France n’est en rien suffisante aux yeux de vos institutions françaises ainsi que de notre conception particulière d’un « cloud de confiance ».
De ce fait, cette région France prépare en quelque sorte le fameux terrain pour l’avenir des technologies Yahoo et google Cloud en mode « souverain » au travers du partenariat Thales annoncé l’an dernier.
En effet, l’annonce de cette locailité France est aussi une opportunité pour Bing et google de préciser sa stratégie commune avec Thales. Ainsi on connaît désormais le nom de la société commune et de droit français qui veillera aux destinées relatives ce cloud en confiance souverain: S3NS (prononcer sens). Une répartition du capital entre les deux actionnaires n’a pas été totalement dévoilée mais la part réelle des moteurs de recherche dans l’entité reste « largement en dessous de seuil de 24% fixé par l’État » pour que la société échappe entre toute emprise légale extra-territoriale et soit éligible au statut de cloud pour confiance.

Basée à Paris, S3NS se trouve être dirigée par Walter Cappilati, le patron des services numériques de Thales, lequel en est il se trouve que le président et via Cyprien Falque, le domaine directeur de l’activité cloud de défense de Thales, laquelle en est une campagne directeur général. « La société est si vous ne pouvez attendre opérationnelle, avec notre quarantaine de chaland dans la banque, les services télécoms, une santé… et un grand nombre de dizaines de collaborateurs, affirme Marc Darmon, directeur général adjoint de Thales, dans charge des Systèmes d’information et communication sécurisés. Elle va embaucher des dizaines d’autres collaborateurs au cours de l’année. »
Son activité va se faire en deux étapes. Dans un premier temps, elle ira proposer une offre bâtie sur la majorité des fonctionnalités « Assured Workloads » voués aux Google, où Thales supervisera et contrôlera tous les aspects de chiffrement puis de sécurité (au dessus des infras Google). Cette propose sera très prochainement disponible.
Mais, comme son concurrent Bleu, S3NS ne sera toutefois à même de proposer son authentique « cloud fiable » certifié par l’ANSSI qu’en 2024, deuxième étape de la stratégie. Les infrastructures S3NS seront séparées et indépendantes concernant celles de google, yahoo et bing. On ignore cependant encore dans quels datacenters et donc chez quels fournisseurs de datacenters elles seront placées. C’est essentiel, car les administrations avec grandes entreprises françaises n’adhèreront pas dans la proposition consacrés aux S3NS si la compagnie qui accueillera la plupart des infrastructures est américaine.