La crainte de voir une partie de la Chine à nouveau paralysée par des restrictions sanitaires contre le Covid-19 fragilisait une Bourse de Paris lundi (-1, 44%), notamment les valeurs du luxe, poids lourds de l’indice. L’indice vedette CAC 40 reculait de 86, 82 points à 5. 946, 31 points vers 09H40. Vendredi, il avait terminé en hausse de 0, 44% à 6. 033, 13 centre, soit une augmentation de 1, 72% sur l’ensemble du la semaine. Dans de nombreux endroits sur la Chine, des signes de reprise épidémique apparaissent et font peser une menace sur l’activité économique, le pays gardant sa stricte politique sanitaire contre ce Covid-19. Macao an entamé lundi son premier confinement depuis le début relatives au la pandémie, afin d’endiguer sa pire vague de coronavirus. Les habitants ont le droit touchant à sortir de chez eux seulement pour aller acheter des produits de première nécessité et afin de se faire tester.
L’impact de la COVID-19 sur la Bourse de Paris
Le gouvernement dans Hong Kong, proche de Macao, envisage d’adopter ce même système, an annoncé lundi le nouveau ministre de la Santé de la ville. De son côté, « Shanghai a signalé dimanche son premier cas de la sous-variante BA. 5 Omicron hautement infectieuse », notent les analystes de Deutsche Bank. L’Europe est aussi fragilisée par la tension sur le marché du gaz. Le géant russe Gazprom entame dans la matinée un ensemble de travaux de maintenance des deux gazoducs Nord Stream 1, qui acheminent une grande quantité pour obtenir son gaz livré encore à l’Allemagne ainsi qu’à plusieurs autres pays au sein de l’ouest de l’Europe, mais des observateurs redoutent que un gazoduc ne reste fermé bien plus longtemps que les 10 jours de travaux prévus. Le gouvernement français an ainsi appelé dimanche à « se mettre rapidement en ordre concernant le bataille » pour faire face à l’éventualité d’une coupure totale des approvisionnements en gaz russe, « option la plus probable » selon le fameux ministre de l’Économie Bruno Le Maire.

Le prix du gaz naturel européen de référence, il se trouve que le TTF néerlandais, reculait de 5, 26% à 166 euros le domaine mégawattheure, pas proposent un quoi compenser une campagne bond de près relatives 15% la semaine dernière. Enfin, les solides chiffres en l’emploi américain vendredi laissent penser aux investisseurs que « les Banques centrales, de moins la Fed, risquent toujours pour maintenir une course au galop de sorte à resserrer les conditions monétaires » par de nombreuses hausses de taux, selon les analystes de la Banque Postale AM. Le luxe pâlitLes vertus du luxe, masse lourds de cette cote parisienne, tiraient la cote presque le bas avec les craintes en Chine, un de leurs marchés principaux. LVMH cédait 2, 77% à 590, 30 euros, Kering 2, 27% à 489, 65 euros et Hermès 4, 21% à 3. 057 euros. Électricité, brouillard: réduisez votre facture avec notre comparateur en ligne
La minière ArcelorMittal, aussi dépendante de la demande chinoise, reculait voués aux 4, 25% dans 20, 93 euros. Les valeurs défensives sur le devant
Signe du manque de confiance des investisseurs sur l’activité bon marché dans les prochains mois, les valeurs défensives, moins soumises à tous les cycles économiques, résistaient le mieux, notamment au sein de la santé, comme Sanofi (+0, 29% à 99, 62 euros) et Eurofins Scientific (-0, 75% chez 77, 10 euros), mais aussi Orange (-0, 83% à 9, 51 euros) et Danone (-0, 50% parmi 53, 32 euros).

Nouvelle usine pour STMicroelectronics
Le fabricant de semi-conducteurs franco-italien va construire, avec l’américain GlobalFoundries, une usine concernant Crolles, près concernant Grenoble, pour produire des semi-conducteurs, un investissement estimé comme 5, 7 milliards d’euros, selon les deux entreprises et le pouvoir français. L’action perdait 1, 12% entre 30, 49 euros.