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Plongée dans le métavers avec un utilisateur belge

Posted on juin 21, 2022 By Aucun commentaire sur Plongée dans le métavers avec un utilisateur belge

Dans le métavers peuvent se croiser et communiquer les avatars d’internautes du monde entier. © DRAu fur et à mesure que nous marchons vers le lieu de rendez-vous, l’excitation monte. Après des mois à ­entendre parler du métavers, ce monde virtuel parallèle dont le ­concept a été popularisé l’an passé par Facebook, nous allons enfin vous y immerger pour quelques heures. Jusqu’à présent, il faut avouer que les ­rouages de cet Internet du futur une échappent. Passer la porte du bureau de Fabio Lavalle, fondateur de l’agence de marketing digital Pixel Passion, suffit pour comprendre toute la dimension de ce nouveau joujou. “Vous tombez bien, je viens d’acheter mon premier terrain. ” Comme dans un jeu vidéo, les utilisateurs du métavers peuvent acquérir des ­parcelles, construire un ensemble de bâtiments, organiser des événements. La différence est financière: afin de s’offrir une place dans le métavers, Fabio Lavalle a déboursé 15. 000 (vrais) euros. “Les prix augmentent en continu en le moment, mieux vaut donc prendre le train en marche et investir dès maintenant. ” L’entrepreneur compte créer un business center sur son terrain virtuel, avec bureaux de coworking, galerie d’art et night-club sur le rooftop. Coût de une facture totale: 40. 000 euros. “Il y a trente ans, lorsqu’on voulait construire un site Internet ça nous coûtait 20. 000 euros de développement, ici c’est la même chose. Parler du métavers aujourd’hui, il se présente comme parler d’Internet dans les années 80: c’est quelque chose de flou, mais qui va devenir the place to be. ”Flou, oui. À ce stade, on ne sait toujours pas ­comment accéder à un fameux Internet 3. 0. En réalité, il existe aujourd’hui plusieurs métavers, dont les plus utilisés sont Sandbox, Decentraland et Roblox. Le patron du Facebook, Mark ­Zuckerberg, se penche actuellement sur son ­propre univers, d’où le changement de nom de géant du Web en Meta. Même chose du côté de Microsoft, qui mise sur le rachat relatives au l’éditeur de jeux Activision Blizzard de sorte à se faire une place dans tout ceci nouveau marché. “Un peu comme avec les différentes applications qui existent aujourd’hui, les métavers auront sûrement chacun un ensemble de spécificités à terme”, croit Fabio Lavalle. Un métavers entièrement consacré à la mode, appelé Zepeto, domine d’ailleurs déjà été créé en Corée du Sud. L’entrepreneur montois, lui, an investi dans Decentraland, le plus intuitif selon lui. Nous nous attendions à devoir chausser de nombreuses lunettes de réalité virtuelle pour plonger dans ce monde parallèle, mais il tourne simplement son écran d’ordinateur vers notre équipe. “Pour aller se balader dans le métavers, il vous suffit d’une bonne connexion Internet”, sourit-il. Ibiza chez moiUn clic et notre création d’avatar plus tard, nous voilà propulsée sur cette place principale touchant à ­Decentraland, Genesis Plaza. Autour de nous, des dizaines d’autres personnages représentant des internautes du monde entier, avec qui il est ­possible d’interagir en direct vocalement. Sur la oeuvre, de grands panneaux, un peu comme ceux des centres commerciaux, indiquent ces événements du moment et autres endroits populaires. En haut à droite dans l’écran, une carte permet de s’orienter dans ce grand village virtuel. A priori, rien de très différent d’un banal jeu vidéo. ­Pourtant, malgré ce vocabulaire employé, la majorité des utilisateurs ne sont pas uniquement là pour jouer. “L’intérêt pour les entreprises, ou les artistes par ­exemple, lequel investissent dans un métavers, c’est d’avoir une visibilité au sein de le monde total. ”Comme dans un annuaire, il est possible de chercher l’adresse d’un magasin pour obtenir téléphonie mobile ou celle d’une grande marque de vêtements, pour s’y rendre et flâner avec les rayons virtuels, interaction avec le fameux personnel et conseils inclus. Arrivé devant Samsung, les portes restent closes en regardant le nez au sein de notre avatar. “Tiens, c’est fermé, l’autre jour ils avaient organisé un événement pourtant…” À terme, il sera très certainement possible d’acheter des objets ou bien même de faire ses courses alimentaires, puis d’être livré chez soi, estime Fabio Lavalle. Fini les sites linéaires, où l’interaction se limite à quelques boutons et aussi des vidéos. Désormais, le métavers permet une expérience infiniment mieux riche… technologiquement parlant, en tout cas. Faute concernant le shopping téléphonique, nous-mêmes voilà repartie gambader au sein des rues virtuelles, à la recherche d’une célèbre discothèque d’Ibiza laquelle a recréé ses locaux dans de fait ce monde parallèle. “Ici il y peut des DJ sets régulièrement et on peut faire danser son avatar. Bon… l’intérêt est limité, on est d’accord! ” Si un tel n’est, bien sûr, de faire de notre publicité pour le vecteur réel. L’entrepreneur montois Fabio Lavalle connaît déboursé 15. 000 euros pour acheter le “terrain” dans le métavers. © Louise Tessiere-LdoradoAujourd’hui, il ne se passe plus un jour sans qu’une large entreprise n’annonce son entrée dans l’un ou l’autre métavers. Nike a créé son “Nikeland” parmi Roblox, Carrefour période acheté une parcelle dans Sandbox, de fait la célèbre maison proposent un vente Sotherby’s cycle ouvert une étalage d’art dans Decentraland. Une opération relatives communication avant tout, cependant pas seulement. Derrière, se cache la possible nouvelle manne financière dont les entreprises ­espèrent bien se saisir. Selon la analyse de Bloomberg Intelligence, le marché du métavers pourrait atteindre 800 milliards de dollars d’ici 2024. Les possibilités de faire en l’argent dans un monde virtuel semblent démultipliées. Au-delà de proposer aux utilisateurs d’essayer la nouvelle ­voiture de telle marque ou de visiter un hôtel avant d’y louer la chambre dans la vie réelle, le métavers surfe également en ce qui concerne une nouvelle tendance: celle des NFT, “non-fungible token”, comprenez… l’achat d’un objet virtuel. Certaines marques proposent ainsi déjà aux utilisateurs d’acheter des vêtements numériques, de leur collection bien réelle, pour leur avatar. Loin d’être dérisoires, les prix s’envolent: en février 2021, l’entreprise RTFKT a mis aux enchères 600 paires de baskets réelles et virtuelles sur la collaboration avec Nike, pour un gain total de à vocation plus de 3 millions pour dollars. Une première fashion week sera d’ailleurs organisée fin mars dans Decentraland. De son côté, Fabio Lavalle va bientôt mettre bizarre collection – virtuelle donc – voués aux caricatures signées par l’artiste Carlos Laranjeira aux enchères: ceux qui les achèteront pourront ensuite les utiliser comme avatars dans le métavers. “Nous espérons évidemment par rapport aux prix vont grimper”, glisse l’entrepreneur, pointant du doigt d’autres collections d’artistes qui ont vu leurs œuvres virtuelles ­atteindre des tarifs faramineux en quelques mois. Là-bas, comme ici, la spéculation financière ira bon train. Qui se souvient concernant Second Life? Au delà de l’aspect économique, l’Internet du futur saurait cependant offrir consacrés aux nouvelles possibilités sur différents domaines, notamment culturel et éducatif. Comme le pointe l’anthropologue à l’UCLouvain, Olivier Servais, il se trouve que le métaverse ouvre cette dimension particulière. “J’imagine pouvoir emmener virtuellement mes élèves sur le terrain, pouvoir leur montrer des choses tout à fait concrètement, cela an un avantage sublime au niveau pédagogique”, exprime-t-il dans ce éclairage publié pendant l’université. Sous forme d’avatar, des médecins pourraient s’entraîner sans risque à réaliser des opérations rares, des artistes pourraient présenter leurs œuvres de manière interactive à des citoyens de ce monde entier, diverses réunions de travail pourraient s’organiser “comme en vrai”… néanmoins de manière numérique. “La semaine passée, j’ai participé dans un mariage dans le domaine métavers: les familles n’avaient pas pu se réunir chez cause du coronavirus donc la cérémonie fut organisée virtuellement”, rajoute Fabio Lavalle. Ajoutez à cela, à l’avenir, divers lunettes de définitive augmentée et unique combinaison sensorielle, & c’est comme si vous y étiez. Ce qui peut aujourd’hui ressembler parmi un projet fou, voire utopique, n’est pas si nouveau. Début des années 2000, un premier métavers a vu le jour, appelé Second Life. Les analystes de Gartner prévoient à l’époque de son lancement en 2003 que, huit ans bien plus tard, 80 % des internautes disposeraient d’une seconde quotidien virtuelle. Finalement une campagne soufflé retombe mais aussi l’engouement s’estompe. Sauf que cette fois, la situation sanitaire et les GAFA aidant, la prophétie pourrait bien se réaliser. Au rythme où les choses iront, Fabio Lavalle considère que d’ici deux ou trois années le concept se sera ­largement popularisé dans les foyers. “Imaginez aujourd’hui but nouveau confinement, ceci accélérera d’autant beaucoup plus le phénomène. ”

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