Grande thématique de ces derniers mois, la souveraineté des données engendre une multiplication des règlementations partout dans le monde avec des enjeux de protection et un ensemble de enjeux économiques qui s’entrecroisent et parfois s’opposent. Décryptage…La souveraineté des données est l’un des enjeux les plus importants lié à la transformation numérique du nos sociétés. Selon un sondage IFOP de 2021, 66% des Français préfèrent renoncer à un service numérique lequel n’indique pas comment leurs données personnelles sont utilisées et où elles sont stockées.
Pour les entreprises, le stockage des données pose des questions d’ordre stratégiques et sécuritaires, notamment en raison de l’hégémonie de nombreuses hyperscalers.
Depuis plusieurs années, les instances européennes se trouvent être emparées du sujet en édictant relatives au nouvelles règles telles que le RGPD ou plus récemment le Digital Service Act.
En France, c’est le label Cloud de confiance, créé en 2021 par le gouvernement, laquelle indique le respect de la législation en matière touchant à souveraineté numérique sur le territoire.
Mais, qu’est-ce qui motive les gouvernements à mettre en place ces politiques de souveraineté numérique et quelles conséquences sur l’activité diverses acteurs du cloud ?

Sommaire
Souveraineté des données: Priorité à une protection ou aux enjeux économiques ?
La pandémie de Covid-19 a donné le coup d’accélérateur dans la transformation digitale des entreprises & changé radicalement leurs priorités d’un point de vue informatique. D’un point de vue juridique, cette question de la souveraineté des données se révèle être en constante discussion. À l’avenir, une politique globale pourrait exiger des utilisateurs qu’ils consentent explicitement au transfert dans leurs données vers une autre juridiction. En d’autres termes, pour les fournisseurs de stockage cloud, il pourrait être illégal de transférer les données de leurs clients en dehors du pays au sein de lequel elles se trouvent collectées. C’est déjà le cas avec certains pays comme l’Inde, où les entreprises ne sont pas autorisées à stocker leurs données en Angleterre; ou encore au Brésil, où les sociétés ne peuvent pas stocker certaines données aux États-Unis.
Pour les vendeurs de stockage cloud, le renforcement du cadre législatif autour des données ces poussent d’ores mais aussi déjà à investir dans des installations physiques dans les pays où ils opèrent. Un coût nécessaire pour les entreprises qui souhaitent étendre leurs services chez de nouveaux marchés, étant donné que la proximité géographique est souvent perçue comme un gage d’assurance. Dans les faits, c’est une réalité parmi deux vitesses: sur la un sens, cela augmente considérablement la majorité des coûts à différents niveaux pour la plupart des fournisseurs; et parmi le même temps cette politique an ce effet positif en ce qui concerne l’économie d’un états. La problématique de souveraineté permet d’avoir but afflux d’investissements sous capital, d’accroître notre demande de centres de données sur les marchés nationaux ou encore la création d’emplois locaux. Pour le secteur du cloud, qui tente pour obtenir répondre à ce double défi de coûts et de sécurité, qu’en est-il de réalité?
Souveraineté divers données: les conséquences de la réglementation au sein de l’écosystème cloud
Si la migration de stockage des portées vers le cloud a permis au sein de faire baisser il se trouve que les budgets IT de vos entreprises, à mots la donne saurait changer. Les habiletés en matière de souveraineté un grand nombre de données ont vrai réel impact concernant les coûts liés à l’activité de rangement, et ce, concernant plusieurs niveaux.

Tout d’abord au niveau des coûts d’exploitation, ce leitmotiv ne permet pas de réaliser de la totalité des économies d’échelle, puisque gérer une dizaine de mini datacenters engage des prix plus importants succinct la gestion d’une infrastructure unique mais plus grande. De plus, les coûts de l’activité d’un tel équipement peuvent différer d’un pays comme l’autre, notamment dans prenant compte ces variables liées au prix des matières premières, de l’électricité ou encore de ce salaire des employés.
Enfin, toutes ces questions autour concernant le la souveraineté pour réaliser des données, qui poussent à la multiplication d’infrastructures dans de multiples endroits du globe, ne vont point dans le sens concernant le développement durable. Un point sur lequel le secteur doit pourtant apporter de nombreux solutions pour limiter la consommation d’énergies. L’idéal serait d’installer des datacenters là où le climat est le plus froid, afin de diminuer le recours aux systèmes de refroidissement et par conséquent, les divers effets pernicieux pour l’environnement. Autant proposent un facteurs qui se révèlent être directement répercutés au sein des pages de le prix final du service dans ce cas vous ne devez vous demander limite les champs d’actions pour rendre l’activité moins énergivore. Les utilisateurs finissent par payer plus cher, ce qui annule – moins une partie des avantages économiques liés à cette activité.
Qui plus est, sur un marché dominé par des hyperscalers, cette dynamique favorise les fournisseurs disposant de capacités relatives financement plus importantes, au détriment d’acteurs plus petits. Plus de fait les acteurs du marché de cloud veilleront au respect les réglementations et à tous les devoirs que à eux métiers incombent, soit veiller à la protection des données certains utilisateurs, plus l’activité pourra profiter entre l’ensemble de l’écosystème.
Sous couvert en défendre la souveraineté et la support des données, tous les réglementations existantes ont surtout un intérêt économique pour les différents États qui les diverses ont imposées. En réalité, le législateur a mis dans place des conditions qui peuvent entraver l’accès au cloud et en augmenter le prix. C’est le cas pour certains fournisseurs qui doivent multiplier les investissements coûteux pour conquérir de nouveaux marchés, mais également afin de rassurer les possesseurs toujours plus inquiets.
Pour éviter cet effet boule pour neige et répondre efficacement à de fait la demande croissante voués aux stockage dans ce cloud, les états vont devoir trouver des consensus raisonnables. Il faut permettre au téléphone marché de développer son offre et d’apporter des réponses par rapport aux défis présents mais également futurs en lien avec l’activité.